Histoire d'aventure
Un soir de pensée
Je décidai d’ouvrir mon cœur a ce merveilleux monde de compréhension .
Je me mélangeais à la foule
De ce pas d’aventure
Je me retrouvais au milieu d’être humains de secteurs différents
Après présentation, nous écoutions un être humain s’exprimer
Avec si peu de mots dans une expression tellement humain
Seul le silence exprimant combien sa douce compréhension
En était marquer de souffrance.
Cette fraternité de cœur fusionne dans mon attention
Une montée de larme atteint la profondeur de mon corps
Cette exposée de douleur que je perçois dans l’instant
Mon regard déchiffres l’effort des mots soufflé par cette être
Ce monde si pure de tout instant dans son béant de marche
Toute conviction de sa personnalité émet au grand air
Nous marchons tous et toutes dans notre incertitude avec compréhension
En mettant notre cœur dans une vague de tolérance
Navigant dans cette instant
Nous pénétrons dans le soi-même de notre image de liberté
Pour parsemer une graine de beauté et bonté qui étoile la sagesse en leur nom.
jean Pierre Rivet
Auteur
Tous droits réservés - Droits d'Auteur
Copyright 2011
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Dans la valse de l'océan
Chapitre II
Une fois le chenal passé, nous contrôlons les cales, voir s’il y a de l’eau puis nous regardons les pompes immersives et si tout fonctionne à merveille.
Le bateau demande de prendre son cap, avec le pilote automatique il enfourche la houle avec tellement de lourdeur qu’il en prend sa valse de tangage dans son roulis de tendresse de tout horizon qui nous donne cette vrai berceuse des océans de toute beauté de respect face à cette mer puissante et respectueuse de toute délicatesse d’amour .
Je pris la carte et me mets dans la réflexion entre le temps actuel et la saison des lieux de pêche.
J’écoute la météo à la VHF sur le canal d’urgence et en annonce quelques dépressions de si et de là.
Je sors de la passerelle et mets le nez dehors. J’en observe l’horizon sur les 360°.
J’en ressens quelques envies mais rien de puissant en moi par rapport à la situation qui pourrait nous permettre de mettre en pêche.
J’attends tranquillement et en regarde le calage de toute l’électronique de bord si tout et bien au point par rapport à notre position.
je descends à la machine et laisse le matelot barrer aidé du pilote pendant que je descends à la machine des moteurs .je contrôle les niveaux de cuve à gaz oïl , la nourrisse journalière de son contenue . Le moteur ronfle avec une telle joie qu’on percevait la danse des culbuteurs avec l’injection des injecteurs qui formaient un concert d’une cadence de cette resplendissante mélodie scintillante. Par moment d’une basse d’accord dans le tangage et le roulie mettrait des vibrations d’enchantement qui nous berçait dans douceur de toute harmonie.
Je remonte après cette merveilleuse mélodie de tout son d’accord.
Je prends les escaliers et m’arrête à la cuisine pour voir le cuisinier et me propose un merveilleux café, j’en sens tout à coup ses sublimes madeleines que je présenterai dans le futur, instant de souvenir. Je passe un petit moment avec l’équipage en parlant de tout et de rien, histoire de détendre l’atmosphère.
Soudain on sentit les batteries du cuistot qui ronflent de cette merveilleuse senteur de cuisine pour le repas de l’équipage. Nous nous mettions tous à table, nos assiettes à la main pour ne rien renverser .Le ballant des hommes faisait d’une telle harmonie comme si nous étions sur une scène de balai dans le roulis que nous épousions cote à cote, épaule contre épaule. La valse intérieure autour d’une table était d’une magnifique beauté de l’instant avec un léger ronflement du moteur qui accordait cette mise en seine.
Tout le repas se passait ainsi avec quelques coups de levées de tangage qui donnait encore plus de mesure sans que l’on pense au mal de mer, mais l’appétit qui nous rongeait l’estomac de cette sublime valseuse.
Le repas arrivé à sa fin et nous rangions tous plats traînant sur la table et la cuisine pour que tout soit magnifiquement bien calé des coups de piolet de l’entrave du bateau.
Je remontais tranquillement après avoir pris mon café, mon quart à la main pour me diriger vers la passerelle et voir la route que l’on avait parcourue d’un coup d’œil et balayais toute l’électronique du bord. Je dis au matelot d’allez manger en lui souhaitant un merveilleux appétit.
Je pris la barre à mon tour puis contrôle l’horizon tout en scrutant dans le détail les 360°.
J’entends des appels radio qui retentissent dans la passerelle dans l’échange de plusieurs chalutiers qui étaient à la chole à attendre que la mer se calme dans toute sa douceur et son élégance de toute puissance de cet instant.
J’analysais les positions des navires en prenant mon compas à pointe sèche, ma règle grasse pour positionner les navires qui s’étaient annoncés à la radio.
J’en pointais toutes les positions discrètement sur la carte des pêches, en analysais le contenu de l’instant du moment et me donnais réflexion attention.
Je pris la radio et appelais quelques collèges qui étaient là et essayais dans savoir plus sur le dernier coup de pêche qu’ il y avait eu parmi eux dans cette zone de bien connue de mon expérience. J’en déduisais que dans cette zone rocheuse je pourrais avoir des chances de pêcher.
Nous continuerons le troisième épisode dans la prochaine lecture.
Merci de lire cette merveilleuse aventure en ce magnifique temps avant de mettre en pêche.
Départ en pêche
Premier épisode
Un jour, il y avait un gros mauvais temps et je pensais comment allais-je sortir ! Je regardais l’horizon le long d’une dune où je prenais mes repèrent entre les amers, les oiseaux qui volaient surplace entre les nuages qui dévalaient du nord nord ouest. Doucement le vent tombait en quelques rafales et dans le lointain des mouettes.
Alors je regardais attentivement les reflets et les vacillements d’incertitude des rouleaux en trois six neuf qui venaient mourir sur la plage et je prenais la teneur de cette mer dans tout son respect d’élégance. elle vacillait avec harmonie, ses ondulations ovalisées l’horizon d’une telle beauté que j’en ressentais dans mes larmes des effets de tremblement dans tout mon corps. D’un coup je ressens comme si elle me disait : « attends un peu ! je vais me calmer avec le montant de la marée, le vent se calmera dans la douceur, dans un moment ».
J’attendis l’instant, le trois quart de mon temps je sentais le calme venir dans une fine douceur comme si elle m’avait écouter dans cette instant de respect de toute beauté.
Le gris de l’orage s’élevait faisant une légère blancheur qui remplaçait et laissait venir le calme avec une telle harmonie que mes larmes en coulaient comme si elles avaient pris mon âme comme un oiseau de mer, elle le caressait d’une telle douceur à l’intérieur avec beaucoup de délicatesse. J’en ressentais cette tendresse qui m’envahissait de toute bonté dans l’instant limpide.
je fis demi tour à pied pour rejoindre le bateau d’un pas ardent. Perdu dans mes pensées pour savoir où aller pécher avec une telle houle régulière et assez forte en même temps. A l’approche du bateau, l’équipage était là et attendait mes ordres mais certains parlaient et disaient qu’il y avait encore trop de force et tout le monde parlait. Quant à moi, je les regardais, les observant et voyais qu’ils cherchaient à rester à terre sans se préoccuper de quoi se soit .
je fais comme si je ne les écoutais pas, sans rien dire et d’un seul coup je levais les yeux sur l’horizon la mer me faisait un appel juste par un coup de vent très court que je percevais sur mon visage de toute délicatesse à ce moment là levant les yeux et je me mis à dire : « allez les gars on largue les amarres tout les monde à son poste » tout à coup je vis les regard des matelots pas très joyeux et se mirent à raller.
Je pris moi même les amarres et en commençais le largage les unes après les autres. Soudain les matelots prirent la relève à ma place.
J’allais directement à la passerelle. Le moteur tournait rond, l’électricité fonctionnait avec toute l’électronique qui dansait de toutes les couleurs Arc-en-ciel. On en voyait les aiguilles valser toutes les une après les autres, merveilleux ronflement de cris de joie dans tous les cadrans multicolores tout comme la musique en travers toutes les batteries de la passerelle, mon ordre avait été entendu par le cœur de ce magnifique chalutier .
Une fois tous les cadrans stabilisés dans un ronronnement régulier à la cadence des mouettes qui tournaient dans l’horizon des carreaux de cette passerelle et soudain les unes après les autres venaient me faire un clin d’œil comme si la mer leur avait donné l’ordre de me presser à larguer ces amarres.
Je fis la manœuvre pour sortir le chalutier du quai avec les vents contraires ce qui était pas de la tarte à la manœuvre.
Comme le moteur était chaud depuis un certain temps ! je pris la brimbale à pleine poignée et me mit à faire une manœuvre sportive, la main gauche à la barre et la main droite à la brimbale et le regard de tous horizons de l’avant comme de l’arrière et seules conditions de tranquillité.
Les manœuvres battaient le pas d’hélice d’un ronflement sous la coque qui tremblait de mon énergie de ténacité sans d’aporie et bien décidé à ne pas laisser le bateau s’embarquer dans tout les sens d’embardées. Une fois le bateau sortir du quai je prenais position du chenal avec les bouées d’alignements. Nos amers personnels que l’ont garde pour soi-même à cause des sorties difficiles et des courants contraires dans le chenal
Je prenais l’alignement mettant plus de gaz par la brimbale, la main gauche toujours à poing fermer sur le taquer de la barre, muscles gonflés et vigilance totale des deux cotés du chenal .
Jean Pierre Rivet 2011
Tous droits réservés - Droits d'Auteur
Copyright 2011
Un matin ensoleillé...
la vie se reveille a l’aube. Je me reveille la tete vide est apaisé. Je constate dans ce silence magnifique une lueur de chaleur pour une journée positif mais dans l’interrogation.
Je m’appraite a faire mon petit tour d’horizon, que les pensées commence a m’envahir de tout les cotés.
Je marche droit devant et le vent m’epaule et mon regarde parcoure l’horizon.
J’apercois les oiseaux qui chants dans la bonne humeur et vole autour de moi.
La vie nous ratrappe et nous renvoie dans nos pensées du passé, du present et du futur.
Je baigne dans l’imagination dans ses melanges, et j’apaise mon regarde sur ses oiseaux et la reflexion viens a son comble.
Je marche d’un pas rassurer et avance dans cette vie ou plus rien ne peut me faire reculer.
Les envies se caches a l’interieur de mes pensées mais je ne mets pas encore le doigt dessus.
Le pas rassurer, les yeux ouvert dans l’analyse, je me demande se que j’ai oublié .
Dans la matinée, un coup de téléphone m’interpelle, et une voix douce et confiante me donne reflexion.
Passe quelque instant au bout du téléphone, et nous preparons une rencontre dans la totale detente sans arriere pensées.
L’approche et le premier contact, tombe dans l’apaisement et la detente.
Accompagné de son ami, la conversation se melange et la detente s’installe avec harmonie.
Nous allons mangés, et la discution d’un coup de baguette magique tombe dans une personnalité que les questions tombent sans reflexions.
Etant toujours plus ou moins rassurer, nos mots s’echangent a toute volé dans une totale harmonie de confiance.
Nous marchons ensemblent quelques pas rassurer et d’un coup un mot nous fait ouvrir les yeux et ce fameux mot s’appel le defit .
Et tout commence a s’installer comme si nous nous etions toujours connu avec les yeux grand ouvert.
Et les defits part si, les defits par là , l’intelligence s’installe et nous interroge.
Mais en definitif comment je me sens le mieux ?
Nous comprenons que notre personnalité de notre naturel est present a ce moment.
Nous echangeons le passé avec beaucoup de prudence et les souffrances nous donnent du dicernements.
Pourquoi cette rencontre a t’elle était programmé par ce destin ?
Je me trouve soudain complètement changé ou je dirai mon moi revient ou mon naturel est présent.
Dans nos échangent nous nous apercevont que le seule moment ou le temps nous dépasse, nous nous demandons pourquoi cette rencontre est elle si positif de notre vrai personnalité.
Nous nous quittons avec un léger regret de se temps qui nous montre que la vie est présent en nous.
Le doute s’en va et le défit s’installe.
Quelle merveilleuse journée de recharge de batterie. Les canailles se sont rencontrer et redonner de l’assurance a leurs propre personnalité.
L’amitié s’installe depuis quelque semaines sans voir les profondeurs de chacun de nous et sans le moindre doute mais la réflexion était présente dans les mots cacher de chacun de nous.
Quelle belle énergie avons nous avec notre fonctionnement de défit qui est notre réalité intérieur et les yeux grand ouvert sans se préocuper de la peur.
Cette peur est notre défit que nous combattons avec assurance. Nous sommes des êtres de défits ou la peur nous redonne la vie du a notre passé que nous ne pouvons pas oublier mais qui nous serre de moteur de bien-être a notre mental.
Je demande a tout les êtres humains de se poser et de se regarder et de se dire que c’est bon d’être soit même.
Les conversations bat dans tout les sens avec les questions les plus indiscrètes dans une totale harmonie.
Pourquoi avoir attendu autant de temps pour se découvrir et être soi même ?
Merci a la personne qui se reconnaîtra dans cette lecture, et que j’espère que cette amitié aura une longue vie dans nos échanges.
JP et le defit la canaille
Jean Pierre Rivet 2010
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Respect et tolérance.
La vie aujourd’hui nous dit d’accueillir le bien être de chacun de nous.
La réflexion de chacun nous doit nous apporter le meilleur de notre entourage.
Nos enfants sont notre créations jusqu'à leurs cycles d’être adultes.
Apprenons nous même le respect et la tolérance en tant adolescent que adulte.
Ne faisons pas de fixation sur notre propre personnalité, ouvrons les portes de l’univers qui nous demande de la compassion.
Adultes et enfants trouvons notre chemin de la sérinitée ne soyons pas plus que notre prochain, admirons la chance que nous apporte d’être un être humain aujourd’hui. Echangeons, accueillons la vie avec ses hauts et ses bas de tout les jours.
L’expérience de chacun apporte l’évolution du bien a notre terre.
La sagesse de chacun de nous nous prouve respect et tolérance.
Aimez ses propres, quelque soit les variantes du monde donc t’ils ouvrent sa confiance. La confiance s’apparent avec la vie et non avec des dirent .
Gérons notre potentiel humain dans le respect et la tolérance. Restons humble a cote de nos proches ami(es).
Jean Pierre Rivet
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Tous droits réservés – Copyright 2009