Jean-Pierre-RIVET alias le poète

Ô toi qui a effacé

L'air d'une incompréhension

Là ou les peurs éteintes l'Altruisme  

Dans le pain blanc d'un écho

Au sommeil d'un noir d'artifice

Pénétrant la voix d'une ronce d'épine

À l'accueil d'un enfant perdu d'incertitude

Au mensonge d'une Venise d'arc-en-ciel

À l'écoute d'un aveuglement d'un vent de cœur

Au ruissellement d'une tornade transparente

L'essence y vernit la rupture cachée

Au feu d'une flamme de désarroi

Dans un volcan d'amour à l'autre bout du monde

Les mots tricotent la pureté d'un éclat de vérité

Pour s'y habiller d'une nature authentique

Au regard d'une société si peu affuté

Au visage d'un miroir si peu historicité

La vie épousant la respiration d'une solitude

Dans l'être libre d'un accord abyssal

Navigant dans les hauts fonds d'un cœur de luciole

Épongeant les coraux d'un arc-en-ciel d'apogée

Au milieu d'une couette d'oxygénation

Sous une vallée d'une prose d'orchestration

Enflammant la marée d'un vent de dentelle

Sur un souffle de naufrage respectueux

Au lointain d'une larme sanglotant d'un lotus

Au silence d'un nu d'élocution

Qui habite le reflet d'une lune lumineuse

À l'esquisse d'une dignité diamantaire

Une source parcourt les rivages d'une plume d'Or

Au soleil d'un pâturage de coquelicot rouge vermillon

L'essence d'une chorégraphie universelle

Sur une bulle cristalline d'accueil

À la paix d'un enterrement épongé de verbe

© Jean-Pierre RIVET

Tous droits réserves-00053125-Copyright 2013

Au lointain d'une prompte mélodie

Un bruissement chatouille une fraîcheur

Dans l'ombre d'une griserie d'un velours colorié

Berçant une ode étincelante d'un velouté

Sur une banquise de Sahel d'intonation

Une couleur murmure un chemin de bonheur

Dans une étoile jumelle de cette voie lactée de rose

tourbillonnante d'un miroir au-delà d'une incertitude 

Un voile caresse l'évasion d'une dentelle d'Iris

Dans une auréole d'imparfait touchant cet horizon d'accord

Dans une vague d'accueil d'un abysse translucide

Parfumant l'amour d'un arc-en-ciel de flocon ouaté

Dans l'essence d'une authenticité carillonnant

D'un frisson d'une nageoire littéraire

Une prose plongeant d'une Venise ensoleillée

Dans une partition reflétant la couleur de ses larmes

Sur une valse tourbillonnant au cœur d'un berger du ciel

Un univers enflammant la gestuelle d'une extase d'abondance

Dans un jet d'ivresse lâchant prise de son être libre

Épongeant l'artifice d'un jaillissement de diamants

Dans une vraie chorégraphie panorama d'une nature lumineuse

Chantant sur les roulettes orchestrales universelles

Au fil d'une Or majestueusement limpide

Sur une page d'octave reluisante un vide d'amour

À l'éclat d'un corps velouté d'émeraude d'un haut fond d'océan

Battant une chorale montagneuse

Au souffle d'une énergie aveuglé d'un futur

Traçant l'écho d'un reflet d'un lotus imperméable

Dans un vase étoilé d'un saphir de destinée

 D'une marée roulant d'un embrun

Au cœur des mains volant des ailes d'albatros

© Jean-Pierre RIVET

Tous droits réserves-00053125-Copyright 2013

Ô toi qui t'infiltre

Dans une sphère de délicatesse

Tremblant d'un frisson de vide

Dans une évasion d'incertitude de destination

Ouvrant le soleil d'un espace ouaté

Une vibration fusionne d'une auréole

Dans un parcourt cheminant d'une larme

A la source d'un flot d'émeraude

Là ici et maintenant

Une plongée épongeant l'abyssal d'une lueur coloriée

Au nuage d'une intonation de respect

Parfumant l'océan d'une donation d'oxygène

Dans un gestuel enflammant la nature d'une coquille

Au reflet d'un imaginaire d'inspiration

Lâchant chaque lettre cachée au battement du cœur

Sur l'harmonie d'une paix créatrice d'un fil d'or

L'amour embaume le réveille d'une vague d'écoute

Dans une réflexion colorimétrie orchestrale

A chaque saison d'un apprentissage zélé

Un chuchotement voguant d'une plénitude

Au vent d'une sensibilité d'arc-en-ciel

La marée voyage d'une pression innocente

Au murmure d'un accord ruisselant

Sous un ciel bleu masqué de méandre

Chantant un feutre à l'ivresse d'un diamant

D'un doux bouquet de cœur émotionnel

Dansant les refrains d'un long vu d'une rose des vents

A l'azimute d’une droite d'hauteur

Au flanc d'une voilure caressant une forêt de verdure

Dans une partition d'un vernis d'une voie lactée

Sur un attachement d'un lac ombilical

Une naissance absorbante l'inconditionnelle brillance

Au loin d'une saveur gustative d'une fleur

Au violon d'un accord ondoyant d'une créativité

Aromatisant la pudeur d'un goût vaporisant

L'accent d'un carbonée au sillage d'une fresque

© Jean-Pierre RIVET

Tous droits réservés-000531251-Copyright 2013

Là ou le mot

Y scintille sur ces lèvres

La beauté plongeant d’une flamme

Le silence d’un vent d'écoute

Dans un opéra de tintement

Ouvrant un nuage d'écho d'une vibration

Au lac d'une banquise terrestre

Sur l'écoute d'un refrain d'apaisement

Une fleur éclore aux quatre saisons

Dans son arbre de branche d'accent

Au fuseau d'une symphonie d'ivresse

Caressant chaque lettre d'une pensée

Au lointain d'une découverte d'un cycle

Cherchant la vitamine d’un oxygène

D'un échange parfumant le vide d'une ivresse

Ouvrant l'interrogation à l'accessible du possible

D’un tourbillonnement d'éclat colorié

Dans l'ombrage d'une source d'une évasion

Sur des fractures d'une sensibilité d'équilibriste

Dans le fil humant le touché d'un parcourt

D'une octave virevoltant d'une ouïe créatrice

Au bouquet d'une richesse d’une paix mélancolie

© Jean-Pierre RIVET

Tous droits réservés-000531251-Copyright 2013

Ô toi silencieux

Ignorant le mot authentique

A l'écume d’un jusant

D’une eau douce de dentelle

Appelant les voiles d'une création

Au vent d'une intonation d'ingratitude

Chaque éveil d’une lettre corrompt les termes

Dans leurs mots et non d'une créativité

A la salive d'une lecture d'un manège

Le touché est l'authenticité d’un accord

Dans une octave de désarroi

Au fond d'un abyssal

Enflammant l'arc-en-ciel d'un cumulus de beauté

Grandissant l'écho d’une sensibilité

Par le chemin d'une plume ornée d'un distinct

Ouvrant la broderie au frisson d'une latitude

Face à la beauté d’une l’Aura

Une aile enflammant l’ombre d’un éclat

A l’horizon d’un souffle d’un moirage

Un chuchotement accroît l’entendement

À la coupole d’une libellule dansante

Enivrant la nue d’une profusion d’un cristallin

Sur lit d’une mer de nuage éblouissante

Les lèvres savourent la sensibilité

Dans l’aurore d’une pureté d’oasis

© Jean-Pierre RIVET

Tous droits réservés-000531251-Copyright 2013