Regard le silence
Touchant le présent de l’imparfait
Une vague plongeant par de là
Laissant les nuages aux méandres Tréport
À la vibration d’une gouttelette
Lâchant les accords des croyances irréelles
Au déluge de chaque saison
Les rues emplissant de fantôme
Des mains vident de respect
Envahissant la robe blanche de leur chaussure rouge
À l’accostage d’un diamant de solfège
Irriguant le silence des aveuglements
Perdant pied au fétu de son origine
À la larme perdue des vallées montagneuses
Cachant le parchemin de l’authenticité
Au combat des guerres pécuniaires
Au regard de la transparence de ces saints coffres forts
Au respect de chaque élocution forfaitaire
L’ignorance est la nature de sa richesse
Au parfum d’une fleur naturelle
Fuyant les pages à la libre liberté
Se protégeant des mots de maux
À l’artifice fortuné d’un Océan
Emprisonnant les guerres au livre imaginaire
Donnant la quête à l’éducation d’un lac de sang
Soyons vrais d'une authenticité naturelle
À la richesse d'un pas d'horizon
Respirant les vagues d'une terre d'Océan
À sa mangeoire innée d'empathie et de respect
© Jean-Pierre RIVET
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