Caresse ton abyssal
Ô toi qui a effacé
L'air d'une incompréhension
Là ou les peurs éteintes l'Altruisme
Dans le pain blanc d'un écho
Au sommeil d'un noir d'artifice
Pénétrant la voix d'une ronce d'épine
À l'accueil d'un enfant perdu d'incertitude
Au mensonge d'une Venise d'arc-en-ciel
À l'écoute d'un aveuglement d'un vent de cœur
Au ruissellement d'une tornade transparente
L'essence y vernit la rupture cachée
Au feu d'une flamme de désarroi
Dans un volcan d'amour à l'autre bout du monde
Les mots tricotent la pureté d'un éclat de vérité
Pour s'y habiller d'une nature authentique
Au regard d'une société si peu affuté
Au visage d'un miroir si peu historicité
La vie épousant la respiration d'une solitude
Dans l'être libre d'un accord abyssal
Navigant dans les hauts fonds d'un cœur de luciole
Épongeant les coraux d'un arc-en-ciel d'apogée
Au milieu d'une couette d'oxygénation
Sous une vallée d'une prose d'orchestration
Enflammant la marée d'un vent de dentelle
Sur un souffle de naufrage respectueux
Au lointain d'une larme sanglotant d'un lotus
Au silence d'un nu d'élocution
Qui habite le reflet d'une lune lumineuse
À l'esquisse d'une dignité diamantaire
Une source parcourt les rivages d'une plume d'Or
Au soleil d'un pâturage de coquelicot rouge vermillon
L'essence d'une chorégraphie universelle
Sur une bulle cristalline d'accueil
À la paix d'un enterrement épongé de verbe
© Jean-Pierre RIVET
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