Jean-Pierre-RIVET alias le poète

Jean-Pierre-RIVET alias le poète

Départ en pêche

Premier épisode

Un jour, il y avait un gros mauvais temps et je pensais comment allais-je sortir ! Je regardais l’horizon le long d’une  dune où  je prenais mes repèrent entre les amers, les oiseaux qui volaient  surplace entre  les nuages qui dévalaient  du   nord nord ouest. Doucement le vent  tombait en  quelques rafales et  dans le lointain des mouettes.

 

Alors je regardais attentivement les reflets et les vacillements d’incertitude des rouleaux en trois six neuf qui venaient mourir sur la plage et je prenais la teneur de cette mer dans tout son respect d’élégance. elle vacillait avec harmonie, ses ondulations  ovalisées l’horizon d’une telle beauté que j’en ressentais dans mes larmes des effets de tremblement dans tout mon corps.  D’un coup je ressens comme si elle me disait : « attends  un peu ! je vais me calmer  avec le montant  de la marée, le vent  se calmera dans la douceur, dans un moment  ».

 

 J’attendis l’instant, le trois quart de mon temps  je sentais le calme venir dans une fine douceur comme si elle m’avait écouter dans cette instant de respect de toute beauté.

 

 Le gris  de l’orage s’élevait faisant  une légère blancheur qui remplaçait et laissait  venir le calme avec une telle harmonie que mes larmes en coulaient comme si elles avaient pris mon âme comme un oiseau de mer, elle le caressait d’une telle  douceur à l’intérieur avec beaucoup de délicatesse. J’en ressentais cette tendresse qui m’envahissait de toute bonté dans l’instant limpide.

 

je fis demi tour à pied pour rejoindre le bateau d’un pas ardent. Perdu dans mes pensées pour savoir où aller pécher avec une telle houle régulière et assez forte en même temps. A l’approche du bateau, l’équipage était là et attendait mes ordres mais certains parlaient et disaient qu’il y avait encore trop de force et tout le monde parlait. Quant à moi, je les regardais, les observant et voyais qu’ils cherchaient à rester à terre sans se préoccuper de quoi se soit .

 

 je fais comme si je ne les écoutais pas, sans rien dire et d’un seul coup je levais les yeux sur l’horizon la mer me faisait un appel  juste par  un coup de vent très court que je percevais sur mon visage de toute délicatesse  à ce moment là  levant les yeux et je me mis à dire : «  allez les gars on largue les amarres tout les monde à son poste »  tout à coup je vis les regard des matelots pas très joyeux et se mirent à raller.

 

Je pris moi même les amarres et en commençais le largage les unes après les autres. Soudain les matelots prirent la relève à ma place.

 

 J’allais  directement à  la passerelle. Le moteur tournait  rond, l’électricité fonctionnait  avec toute l’électronique qui dansait de toutes  les couleurs Arc-en-ciel. On en voyait les aiguilles valser toutes les une après les autres, merveilleux  ronflement de cris de joie dans tous les cadrans multicolores tout comme la musique en travers toutes les batteries de la passerelle,  mon ordre avait été entendu par le cœur de ce magnifique chalutier .

 

 Une fois tous les cadrans stabilisés dans un ronronnement régulier à  la cadence des mouettes qui tournaient dans l’horizon des carreaux de cette passerelle et  soudain les unes après les autres  venaient me faire un clin d’œil comme si la mer leur avait donné  l’ordre de me presser à  larguer ces amarres.

 

Je fis la manœuvre pour sortir le chalutier du quai avec les vents contraires ce qui était pas de la tarte à la manœuvre.

 

Comme le moteur était chaud depuis un certain temps !  je pris la brimbale à pleine poignée et me mit à faire une manœuvre sportive,  la main gauche à la barre et la main droite à  la brimbale et le regard de tous  horizons  de l’avant comme de  l’arrière et seules conditions de tranquillité.

 

Les manœuvres battaient le pas d’hélice d’un ronflement sous la coque qui tremblait de mon énergie de ténacité sans d’aporie et bien décidé à ne pas laisser le bateau s’embarquer dans tout les sens d’embardées. Une fois le bateau sortir du quai je prenais position du chenal avec les bouées d’alignements. Nos amers personnels que l’ont garde pour soi-même à cause des sorties difficiles et des courants contraires dans le chenal

 

 Je prenais  l’alignement  mettant  plus de gaz par la brimbale, la main gauche toujours à poing fermer sur le taquer de la barre, muscles gonflés et vigilance totale des deux cotés du chenal .

 

 

Jean Pierre Rivet 2011

 

Tous droits réservés - Droits d'Auteur

 

Copyright 2011

* L'instant * Ecoute mon cuivre rivage d’horizon Etale ma larme de vitre en tes mains Rince mon âme de doux instant de vie Profondeur coquillage d’amitié de cœur Ar-En-Ciel d’éclat lueur d’attention Caresse mes jouissances de mots bonté Vallonne mon amplitude rinçage d’amour Ecrit mes phrases de mon autre miroir Soleil reflet de mon être humain pureté.
 
Jean Pierre Rivet
 Tous droits réservés -
Droits d'Auteur Copyright 2011

 

* Amitié * Regard tes plonger d’écoute en ton cœur Ondule sur cette houle vacillante de joie Saute de bonheur de toute harmonie Ecrit cette amitié dans cette univers Roule dans cette vague de dauphin Lève ton haut fond d’épaule en ton cœur Aborde cette caresse de mer en ce respect Aime cette instant formidable de cette poursuite Soit cette profonde liberté d’Art dans tes mots Jean Pierre Rivet 2011 Auteur Tous droits réservés - Droits d'Auteur Copyright 2011

 

. Murmure cette amour de toute profondeur Vacille dans ma flottaison de mon être Flot de mon regard de mes mots Epaulons nous d’osmose d’amour Ouvrons les livres de la vie de l’instant N’écoutons pas le temps dans toute âme Fusionnons dans nos mers d’océans Amplitude d’instant de discernement beauté d’aventure d’Être Libre d’amour Jean Pierre Rivet 2011 Tous droits réservés - Droits d'Auteur Copyright 2011

 



16/01/2013
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