Départ en pêche
Premier épisode
Un jour, il y avait un gros mauvais temps et je pensais comment allais-je sortir ! Je regardais l’horizon le long d’une dune où je prenais mes repèrent entre les amers, les oiseaux qui volaient surplace entre les nuages qui dévalaient du nord nord ouest. Doucement le vent tombait en quelques rafales et dans le lointain des mouettes.
Alors je regardais attentivement les reflets et les vacillements d’incertitude des rouleaux en trois six neuf qui venaient mourir sur la plage et je prenais la teneur de cette mer dans tout son respect d’élégance. elle vacillait avec harmonie, ses ondulations ovalisées l’horizon d’une telle beauté que j’en ressentais dans mes larmes des effets de tremblement dans tout mon corps. D’un coup je ressens comme si elle me disait : « attends un peu ! je vais me calmer avec le montant de la marée, le vent se calmera dans la douceur, dans un moment ».
J’attendis l’instant, le trois quart de mon temps je sentais le calme venir dans une fine douceur comme si elle m’avait écouter dans cette instant de respect de toute beauté.
Le gris de l’orage s’élevait faisant une légère blancheur qui remplaçait et laissait venir le calme avec une telle harmonie que mes larmes en coulaient comme si elles avaient pris mon âme comme un oiseau de mer, elle le caressait d’une telle douceur à l’intérieur avec beaucoup de délicatesse. J’en ressentais cette tendresse qui m’envahissait de toute bonté dans l’instant limpide.
je fis demi tour à pied pour rejoindre le bateau d’un pas ardent. Perdu dans mes pensées pour savoir où aller pécher avec une telle houle régulière et assez forte en même temps. A l’approche du bateau, l’équipage était là et attendait mes ordres mais certains parlaient et disaient qu’il y avait encore trop de force et tout le monde parlait. Quant à moi, je les regardais, les observant et voyais qu’ils cherchaient à rester à terre sans se préoccuper de quoi se soit .
je fais comme si je ne les écoutais pas, sans rien dire et d’un seul coup je levais les yeux sur l’horizon la mer me faisait un appel juste par un coup de vent très court que je percevais sur mon visage de toute délicatesse à ce moment là levant les yeux et je me mis à dire : « allez les gars on largue les amarres tout les monde à son poste » tout à coup je vis les regard des matelots pas très joyeux et se mirent à raller.
Je pris moi même les amarres et en commençais le largage les unes après les autres. Soudain les matelots prirent la relève à ma place.
J’allais directement à la passerelle. Le moteur tournait rond, l’électricité fonctionnait avec toute l’électronique qui dansait de toutes les couleurs Arc-en-ciel. On en voyait les aiguilles valser toutes les une après les autres, merveilleux ronflement de cris de joie dans tous les cadrans multicolores tout comme la musique en travers toutes les batteries de la passerelle, mon ordre avait été entendu par le cœur de ce magnifique chalutier .
Une fois tous les cadrans stabilisés dans un ronronnement régulier à la cadence des mouettes qui tournaient dans l’horizon des carreaux de cette passerelle et soudain les unes après les autres venaient me faire un clin d’œil comme si la mer leur avait donné l’ordre de me presser à larguer ces amarres.
Je fis la manœuvre pour sortir le chalutier du quai avec les vents contraires ce qui était pas de la tarte à la manœuvre.
Comme le moteur était chaud depuis un certain temps ! je pris la brimbale à pleine poignée et me mit à faire une manœuvre sportive, la main gauche à la barre et la main droite à la brimbale et le regard de tous horizons de l’avant comme de l’arrière et seules conditions de tranquillité.
Les manœuvres battaient le pas d’hélice d’un ronflement sous la coque qui tremblait de mon énergie de ténacité sans d’aporie et bien décidé à ne pas laisser le bateau s’embarquer dans tout les sens d’embardées. Une fois le bateau sortir du quai je prenais position du chenal avec les bouées d’alignements. Nos amers personnels que l’ont garde pour soi-même à cause des sorties difficiles et des courants contraires dans le chenal
Je prenais l’alignement mettant plus de gaz par la brimbale, la main gauche toujours à poing fermer sur le taquer de la barre, muscles gonflés et vigilance totale des deux cotés du chenal .
Jean Pierre Rivet 2011
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