Jean-Pierre-RIVET alias le poète

Jean-Pierre-RIVET alias le poète

L’aventure d’un petit garçon

Dans le fond d’un nuage si petit, l’environnement ouvrant la beauté d’incertitude, un soir d’une journée rayonnante, sous un beau soleil parfumant l’horizon. Un petit garçon s’appelait Yvon, dégustât une somptueuse pomme trouvée dans le jardin, qu’il avait respirée toute une journée dans sa course d’élan dans la fraicheur.

 

Soudain dans la soirée, ses parents finissent leur belle journée, après être occupé de chacun de nous, c’était l’heure du repas et l’abondance y réveilla l’appétit de chacun.

 

Et tout à coup, une colère pris ma mère envers le père, brutalisé avec violence, ce geste le fait mettre à terre. Le petit garçon attentif de ces faits et gestes, fût pris d’une qui le plongea dans une telle émotion, qu’il en était tétanisé et l’immobilisa de tout son être.

 

Des pleures de hurlement, ouvrir l’incertitude dans les larmes de cette grande blessure, il ne s’en remettra pas, et resta muet pendant 8 ans sans dire un mot.

 

On l’amena dans un hôpital spécialisé, où durant des années, il demeurera dans un coma à la parole muette. L’enfant sombre dans un profond silence d’observation. Les parents se livrèrent à un combat sans fin et avec acharnement l’un contre l’autre, au divorce de leur vie, et le petit garçon demeura isolé et seul dans cet héritage de vie.

 

La mère était dans la démence sans y voir l’amour de l’enfant et le père cherchait l’enfant dans les 4 coins du monde pour le retrouver.

 

Un jour le père retrouva l’enfant et allait lui rendre visite, il avait 5 ans et demi, la peur était toujours aussi présente et les souvenirs de son père étaient un bonheur, quand il jouait dans son camion.

 

A l’époque, le père était ramasseur de lait dans les fermes et il amenait son petit enfant et la beauté était cette lumière de complicité tous les deux.

 

Et ce jour là, il était venu chercher le petit garçon pour y ouvrir son cœur blessé, et il lui prit la main pour s’évader tous les deux, en voiture. La jouissance de cette journée évasive, fût de courte durée, un responsable social stoppa net la merveilleuse ballade qu’ils allaient entreprendre.

 

L’enfant s’est mis a pleuré de nouveau, se retrouvant seul dans ce monde médical et sans aucun attachement parental, perdu dans cet univers de violence qu’il a du mal à faire face, lui même sans écouter le moindre souffle de cet héritage de vie donc il était totalement isolé.

 

La solitude l’embrassa, l’univers de son regard et la vie colorie sa compréhension dans aucune de ses armes et le soupire chante la nature de son oreille.

 

Dans un touché de réflexions un horizon de lumière ouvre un frisson d’écoute de son silence, l’harmonie feutré sa paix intérieure dans une innocente totale que l’amour a tacheté d’un lumineux rayon de soleil.

 

La vie l’embrassa dans chaque image imaginaire, et son étincelle décrive chaque plénitude de parfum qui m’éduqué de son brillant diamant.

 

La terre est une splendeur d’intonation créant la créativité de sa personnalité dans une délicatesse d’oxygène que nous savourons avec assurance et patience.

Ces mots étouffaient sa timidité dans un clair de lune et son accent ondulé sur les arbres de mes nuages.

 

Et les nuits saupoudraient son espace d’étoiles dans une montée d’univers que la voix lactée savoure son étendu solitaire au cœur de mon Âme. Et mille et une questions parcouraient sa compréhension dans son nu, ouvrant son inspiration dans une fixation de saison.

 

Chaque jour une étoile apparaissait dans sa lueur de vapeur dans une flamme de nulle part qui le questionnait.

 

Et pendant sept ans les mots illuminés ses larmes de silence dans cette vie d’héritage qui l’attirait dans cette somptueuse nature qui était devenue sa matrice de lumière intérieur.

 

Dans chaque pas d’oxygénation, il embrassait la pureté de cette fécondité, qu’il palpait de ses mains dans son regard dégustant chaque couleur de concert dans sa respiration.

 

Il touchait chaque organe vivant de son passage, qu’il l’illuminait dans une délicatesse de vent, a chaque pas ses yeux brillaient perdus dans un calme d’arc-en-ciel.

 

Il caressait chaque branche et feuille qu’il croisait sur son sentier dans une éclosion d’harmonie et tout au loin, il entend une douce symphonie de différences intonations qui murmuraient dans le fond de son oreille et la beauté le libéra dans une oasis de compréhension ouvrant son inconscient de ses ailes d’un parfum de paradisiaque tourbillonnant dans ses larmes de sa richesse.

 

Et chaque jour il répétait chaque instant d’espace de toutes ses années.

 

Et un jour les chuchotements commençaient à prendre une liaison phonétique ouvrant une profonde timidité en lui.

 

Sa maman vient le chercher, pour y aller vivre avec et apprendre sa scolarité dans une école de classe premier cycle. Sa maman vivait avec un homme qu’il ne connaissait pas et s’appelait Vincent de son prénom. Il travaillait comme plombier pour un patron.

 

Je restais d’attention et sa maman était toujours entrain de lui crier dessus sans comprendre chaque de ces hurlements qu’il l’effrayait totalement et le bloquait encore plus chaque jour.

 

Elle me présenta à la maitresse d’école et celle-ci m’expliquait avec attention le monde des lettres et des chiffres. Et chaque jour je me sentais si heureux de découvrir un nouveau monde dans la classe d’école et le jour ou j’ai commencé à faire une première lettre était un P comme papa et là tout m’a bousculé dans mon Âme si fragilité.

 

J’ai passé deux classes avec fierté et ma maman ne me félicitait pas elle me criait toujours autant et ouvrer ma peur intérieure.

 

Un jour de printemps j’apprends que j’ai deux sœurs et un frère et je ne comprenais pas ces mots qui débouclaient ce lien familial inconnu à son esprit.

Jean-Pierre RIVET

Tous droits réservés – Copyright 2013

 



09/01/2013
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