Jean-Pierre-RIVET alias le poète

Jean-Pierre-RIVET alias le poète

L’entrain de ma plume

 

 

Dans un univers au lointain de l’amour un somptueux couloir irrigue mon sentier dans mon nu de saison.

Quand ma graine a touché terre dans mes deux premières années, elle a éblouie mes sens d’héritage

Dans l’horizon de mon inconnu.

La saveur y pénètre entre cailloux pour y déguster chaque veine de nature d’une assoiffées illuminant ma gourmandise d’une intonation de désert.

La terre m’accroche à mes pieds, pour y semer le respect dans mon Âme si naïf dans une osmose de découverte entre branches et bourgeons.

Dans un pas de délicatesse la voie ouvre une quiétude d’aventure sans regarder le mal qui est une absence dans mon tourbillon de nuage.

Je grandis dans chaque saison de richesse qui m’enveloppe dans un bruissement de créativité sans ouvrir un mot dans ma plume de fragilité.

Elle grandit dans mon Âme de l’école de mon soudain pour apaiser l’horizon de ma mémoire dans un éclat de peur ouvrant toute ma sensibilité dans chacune de mes découvertes.

Un jour un éclair à rugie dans l’apothéose de ma profondeur de lumière dans une symphonie de discordance ouvrant mon handicape de muet au fond de chacune de mes larmes.

La lumière ouvrit mes sens dans l’oasis de la nature parfumant mon destin dans l’innovation d’incertitude pour juste ressentir le velours d’une somptueuse volonté.

Dans une fleur de mon arbre ouvrant l’éclosion de ce magnifique ciel m’aspirant au plus haut de ma galaxie l’essence de mon cristallin.

Et a chaque saison la beauté berce ma grandeur dans mes veines de liberté apprenant chaque pas mes aventures si haut dans mes nuages d’être libre.

J’entends mon corps grandir chaque jour d’une sage victoire de beauté de silence dans l’écume des ouragans ouvrant ma pensée d’attention dans une voluptueuse éclatée.

Une marche sous pluie de douceur m’envole dans la voix lactée ouvrant les accords d’une pulpe paradisiaque dans les lagons du pacifique.

Et un mon arbre grandit si haut qu’il toucha l’amour de ma passion dans une fécondation limpide dans une intense profondeur d’harmonie la paix m’embrasse dans le fond de mes larmes immergeant les éclaires dans ma peur de mes ailes.

La beauté sonne un enchantement d’horizon dans l’ombrage de ma vague illuminante l’osmose dans ma symbiose de pétale d’émeraude l’échappée retentie dans ma fuite de tanière.

Seul dans mon espace ouvrant un vide de mon éponge, à chaque chemin parcouru la beauté rentre dans mon Âme limpide cherchant l’inconnu à travers la connaissance.

Ma plume a inondée mon pas de silence pour apprendre chaque mot de forêt que la terre à illuminer dans ma réflexion naturel.

La clarté de chaque inconnu a été un tunnel de profondeur dans le fond de chacune de mes larmes que l’océan à habité dans ma vague étincelante de mon marnage lunaire.

Le respect a été mon arc-en-ciel de douleur a chaque mouvement de houle dans un écho de mon silence et que l’étoile a toujours était présente dans mes chemins de girouette.

L’impossible m’appris la couleur de la nature dans toute ces pétales d’artifices la beauté diamantaire de liberté dans son être libre que chaque labours est un sillage de culture que nous semons dans nos cordes.

Dans mon glouton de nu j’avalais chaque pensée de regard pour y grandir au son de mon ouïe que la vie m’a offert gracieusement.

 Les orages des Bermudes me traqués de mon innocence par manque d’éducation parentale que la vie m’a destinée de mon destin d’alouette.

Les sentiers de saisons ont ouverts chaque régale de mes cailloux qui on écrit ma plume dans mon cœur de lumière et chaque pas on fait grandir mon arbre dans ces racines de coraux.

Et un jour un pétale de mon arbre à semer une fleur à terre pour y laisser grandir l’amour et la mer l’a appelé mon Océan.. ! Pour y bercer la beauté d’humanisme qui est la plus grande richesse qu’un être humain porte dans son Âme d’amour de cœur.

L’enfant est un tremplin à vos cotés le temps qu’il grandisse dans des sentiers de silence ouvrant l’oasis de la musique d’un grand bleu d’Océan.. Qui illumine la passion des parents quand s’est conjugué avec amour.

Un jour le reflet miroir rattrapera son étincelle dans son Âme d’incertitude que l’amour était une racine d’objet dans son regard familiale qui en était inné dans son arbre généalogique.

Quand la vie m’ouvre ma créativité et que aucun partage n’a été ouvert l’amour est juste criminel dans le tempête de misère.

Seul la couleur guide l’amour d’arc-en-ciel dans une échappée de sillon sillonnant le monde entier de son nu.

La force est une volonté dans son Âme solitaire que son destin ouvre d’aventure dans l’art de son éventail cristalline que la voix lactée embrasse la galaxie dans chaque étoile de son amour que l’humilité accueil dans sa profondeur caché ouvrant sa mémoire de dignité.

Le respect m’a toujours tenue par la main dés l’éclosion de mon nu et mes chemins ont cheminés dans mon écorce d’un tissage d’écolier ouvrant ma grande gourmandise.

Et l’entre aide de mes mains ont toujours étaient ma dignité dans ma pureté d’harmonie que l’on a volontairement déchiré pour effacer mon Âme de chaque écho d’environnement.

Je marche toujours dans mon Âme et je cueille chaque saison dans ma créativité sans regard de tempête ouvrant les Bermudes de leurs triangulations.

L ‘amour est un ensemble entre la force et l’amour dans l’Âme de sa dignité.

Chaque louange est un délice dans le lointain si haut dans les nuages qui nous parlent d’un regard ensoleillé au milieu d’un paradis étincelé de dignité ouvrant les pâturages de bouquet d’émeraude dans chaque allée de vitamine.

Chaque oiseau chante de leur lueur de leurs ailes étoilées dans une harmonie d’accord de paix que le monde entier efface chaque frontière pour y ouvrir les anges de tendresse qui irrigue l’amour dans un velours de coton que la vie a fait héritière de notre corps coloré d’humilité.

Les soupires murmurent la fragilité dans l’Âme de notre plume que l’encre chatouille de notre lumière intérieur.

Les pas sont un ruisseau de naissance dans chaque rivière de fleuve qui habite les mers déesses d’océans.

Et l’horizon est une force d’écoute dans notre amour ouvrant chaque sentier d’avenue pour y bercer une symphonie mélodieuse dans une libre intonation de vague.

 

Jean-Pierre RIVET

Tous droits réservés – Copyright 2012



09/01/2013
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