Jean-Pierre-RIVET alias le poète

Jean-Pierre-RIVET alias le poète

Une belle amitié

Soudain un matin à l’aube du printemps, je parcours les étables, et je perçois ses merveilleuses vaches limousines qui allaient vêler et je continuais mon chemin.  

Toujours dans cette formidable humeur de mon pas, et juste en levant les yeux le ciel était d’un magnifique bleu lagon étincelant.  Je perçois les oiseaux, dans une symphonie de bruissement de tout sifflet, si sublime de ce concert orchestrale d’une sérénade chorus.  

Je m’assoie du haut d’une vallée, dans une passion de divertissement et je contemplais avec tellement de beauté de mes yeux, et il se brouillait de cette magnifique mélodie des horizons de charivari.  

Mon âme fondait de tout corps absorbé de cette environnement, et là, j’ était dans les lointains de mon êtres  avec mon  magnifique ami ce petit veau,  que j’ai appelé  (nounours),  de couleur bariolé qui assister lui aussi a ce formidable récital matinal. De toutes les amplitudes d’écho que nous retentissons, dans ce chœur de vibrations de tout cette surface d’horizons, ouvrer les concertos vibrato, de ce merveilleux éventail tintamarre cérémoniale.  

Le temps était si loin de nous, dans cet univers étoilé, parsemer d’onctueuse séance musical, tout les deux en admiration de ce joyaux matin. On était cote à cote,  on se regardait de passion de deux grands amis de la terre.  

Chacun a notre tour, nous nous balançons la tête d’un bord et de l’autre, comme deux accords de mélancolique, qui bercer les nuages d’une merveilleuse guitare et flûte qui ne demander qu’a en jouir de cette instant  

Nos instants passes, de temps en temps, nos regards d’enfant illuminer nos sourire, et on s’assoit sur un banc d’école,  pour saliver cette succulente affiche.  

A un moment, nous nous décidons de continuer, de nos pas de promenade, pour allez voir, le troupeau dans leurs réveils, avec des sifflements, qui en retentissait a chaque mouvement d’attention.  

Je contrôle le troupeau, en passant dans le lointain, et je leur donne en passant à manger du foin, qui a été empilé, et en semer d’un jet,  la botte bien ficeler.  

Je remplie les bacs à eau et racle leurs litières d’une fourche, pour qu’elles soient aérer de leur nuit. Je parsème la paille pour leurs confectionner, leurs doux petit lit de leurs coin de détente, pour quand elles en ruminent, pour qu’elles en soient de confort.  

Je mets juste quelque pot de sel,  pour leurs donner plus de solidité,  pour qu’elles aient une  meilleur forme.  

Nous prenons la direction des champs, tranquille avec mon gros nounours, sans que je l’appel,  en marchant a ma droite, comme si voulait me parler en me regardant de les yeux,  et en bougeant ses oreilles.  Je lui parlais,  il me comprenait,  et il en bougeait la tête,  dans nos charmants conversations,  de toute nature de champs a champs.  

Arriver au portail de chaque champs, il restait juste a l’entré, et il ressentait là, parce qu’il ne voulait plus se mélanger avec les autres,  et cela m’interpeller.  Je ressentais qui avait peur du troupeau,  juste avant de le recueillir,  parce que sa mère est partie de ce monde. Une fois fait,  ma visite du troupeau,  je revenais pour le rejoindre,  et là,  a ce moment, il en secouait la tête, parce que il en été heureux de me retrouver,  et venez me câliné avec son museau,  il me frottait en arrière d’une légère force comme d’une belle amitié.  

Nous contions notre route, tous les deux touts en parlant et sifflotant les ballets majestueux de instant printanier. Nous sommes deux amis inséparable, de différence copulation et l’importance est être heureux de toute attention, et respectueux, qu’il en soit a mes cotés, un vrai ami de bonheur d’amour.

 

Jean Pierre Rivet 2012

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10/01/2013
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