Dans la valse de l'océan
Chapitre II
Une fois le chenal passé, nous contrôlons les cales, voir s’il y a de l’eau puis nous regardons les pompes immersives et si tout fonctionne à merveille.
Le bateau demande de prendre son cap, avec le pilote automatique il enfourche la houle avec tellement de lourdeur qu’il en prend sa valse de tangage dans son roulis de tendresse de tout horizon qui nous donne cette vrai berceuse des océans de toute beauté de respect face à cette mer puissante et respectueuse de toute délicatesse d’amour .
Je pris la carte et me mets dans la réflexion entre le temps actuel et la saison des lieux de pêche.
J’écoute la météo à la VHF sur le canal d’urgence et en annonce quelques dépressions de si et de là.
Je sors de la passerelle et mets le nez dehors. J’en observe l’horizon sur les 360°.
J’en ressens quelques envies mais rien de puissant en moi par rapport à la situation qui pourrait nous permettre de mettre en pêche.
J’attends tranquillement et en regarde le calage de toute l’électronique de bord si tout et bien au point par rapport à notre position.
je descends à la machine et laisse le matelot barrer aidé du pilote pendant que je descends à la machine des moteurs .je contrôle les niveaux de cuve à gaz oïl , la nourrisse journalière de son contenue . Le moteur ronfle avec une telle joie qu’on percevait la danse des culbuteurs avec l’injection des injecteurs qui formaient un concert d’une cadence de cette resplendissante mélodie scintillante. Par moment d’une basse d’accord dans le tangage et le roulie mettrait des vibrations d’enchantement qui nous berçait dans douceur de toute harmonie.
Je remonte après cette merveilleuse mélodie de tout son d’accord.
Je prends les escaliers et m’arrête à la cuisine pour voir le cuisinier et me propose un merveilleux café, j’en sens tout à coup ses sublimes madeleines que je présenterai dans le futur, instant de souvenir. Je passe un petit moment avec l’équipage en parlant de tout et de rien, histoire de détendre l’atmosphère.
Soudain on sentit les batteries du cuistot qui ronflent de cette merveilleuse senteur de cuisine pour le repas de l’équipage. Nous nous mettions tous à table, nos assiettes à la main pour ne rien renverser .Le ballant des hommes faisait d’une telle harmonie comme si nous étions sur une scène de balai dans le roulis que nous épousions cote à cote, épaule contre épaule. La valse intérieure autour d’une table était d’une magnifique beauté de l’instant avec un léger ronflement du moteur qui accordait cette mise en seine.
Tout le repas se passait ainsi avec quelques coups de levées de tangage qui donnait encore plus de mesure sans que l’on pense au mal de mer, mais l’appétit qui nous rongeait l’estomac de cette sublime valseuse.
Le repas arrivé à sa fin et nous rangions tous plats traînant sur la table et la cuisine pour que tout soit magnifiquement bien calé des coups de piolet de l’entrave du bateau.
Je remontais tranquillement après avoir pris mon café, mon quart à la main pour me diriger vers la passerelle et voir la route que l’on avait parcourue d’un coup d’œil et balayais toute l’électronique du bord. Je dis au matelot d’allez manger en lui souhaitant un merveilleux appétit.
Je pris la barre à mon tour puis contrôle l’horizon tout en scrutant dans le détail les 360°.
J’entends des appels radio qui retentissent dans la passerelle dans l’échange de plusieurs chalutiers qui étaient à la chole à attendre que la mer se calme dans toute sa douceur et son élégance de toute puissance de cet instant.
J’analysais les positions des navires en prenant mon compas à pointe sèche, ma règle grasse pour positionner les navires qui s’étaient annoncés à la radio.
J’en pointais toutes les positions discrètement sur la carte des pêches, en analysais le contenu de l’instant du moment et me donnais réflexion attention.
Je pris la radio et appelais quelques collèges qui étaient là et essayais dans savoir plus sur le dernier coup de pêche qu’ il y avait eu parmi eux dans cette zone de bien connue de mon expérience. J’en déduisais que dans cette zone rocheuse je pourrais avoir des chances de pêcher.
Nous continuerons le troisième épisode dans la prochaine lecture.
Merci de lire cette merveilleuse aventure en ce magnifique temps avant de mettre en pêche.
Allez mon ami(e)
On ne lâche pas
Regard au tour de toi de ta compréhension
Ouvre cette porte et sonne au soleil
Ecoute ton destin de mots de chaque phrase
Ecrit cette berceuse et hurle d’attention
Parsème ta force de sagesse dans ta butine
Appel à ta beauté d’amour en toi
Vole de tes ailes de colombe dans ton nuage
Vallée ton âme d’amour de jouissance
Jean Pierre Rivet
Auteur Tous droits réservés - Droits d'Auteur
Copyright 2011
Ouvre mon bleu de mer
Ecoute ma parole de marin
Tape deux fois dans les mains
Lâche jamais prise quand tu serre
Largue tes amarres de temps en temps
Vogue sur ses flots de berceuse
Epaule toi quand tu prend la barre
Observe ton horizon d’océan Hurle de ton
Être Libre de ton instant
Jean Pierre Rivet
Auteur Tous droits réservés - Droits d'Auteur
Copyright 2011
Ô toi Nature silence,
Toi qui es mon pas si secret dans mon âme d'amour
Ô toi Nature silence,
Toi qui vogues réconfort et paix intérieure.
Ô toi Nature silence,
Toi qui es fidèle de pureté,
Cet ami(e) sincère qui guide mon cœur,
Aide moi à être cette âme claire,
Sois cette lumière qui illumine mes pensées
Dirige mes pas vers ce destin d’amour.
Ô toi Nature silence, ne quitte jamais l'amitié sincère,
Je me sens si bien, dans mon coeur et ce en toute confiance
Jean Pierre Rivet
Auteur Tous droits réservés - Droits d'Auteur
Copyright 2011
Ouvre cet horizon ondulique
Caresse mes mots de compréhension
Délicatesse d’échange de partage
Roule toi dans l’harmonie du cœur
Regard son soleil de reflet de vie
Épaule tes vagues d’écume d’instant
Apaise cette beauté de ton soi-même
Soit cette écoute de houle d’incertitude
Embrasse l’amour de tout ton cœur
Jean Pierre Rivet
Auteur
Tous droits réservés - Droits d'Auteur
Copyright 2011
Mon âme en est éclaté de vague
Ma pyramide en goutte de ma vie
Mes larmes affecte mon cœur
Mon hurlement de transparence
Mon silence de pincement d’amour
Mon arrachement de profondeur
Ma grandeur de souffrance silencieuse
Apaise mes instants de regard en tout mots
Jean Pierre Rivet
Tous droits réservés - Droits d'Auteur
Copyright 2011
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 27 autres membres