Un silence de désarroi
Quand les souvenirs reviennent
L'accent émerge dans les flots de son silence
Sur un nuage ouaté d'un berceau ensoleillé
Les mots sanglotent d'une maladresse
Au fond d’un océan de sensibilité
Dans l'entende d'une lecture fendillée
Dans l'arche d'un torrent de désarroi
La pluie édifice dans le vent d'un tourbillon
Dans un lointain d'ouragan flamboyé
Sur des lettres acérées de peur d'incertitude
Une vague se hisse à l'odeur d'un désespoir
Dans l'albatros de son regard blanc
Au commun de sa marée momifiant l'insouciance
D'une pointe brisée d'un arbre d'écorce
Fluctuant dans son érable d'automne
Dans la vaporisation d'une anicroche
Sur sa rivière de bouquet de rose
Les cailloux s’ajustent d'une bordure de paix
Glissant des montagnes de son jusant
Le souffle est la touche de ton piano
Sur une étoile limpide mêlant la voie lactée
Dans ses petites ailes voguant d'une tempête
A la fraicheur de son enthousiasme de larme
L'art transcrit l'arc-en-ciel d'une révérence
Dans un ciel nuageux de coloris
La paix y chuchote l'apaisement du cœur
Sur sa banquette magique d’une relecture
Berçant un concert d'une mélodie d'une prose
D'un élan de douceur aromatisant son allée
D'un pincement de lèvres de ton être libre
Dans un couloir de courant d'avenu
© Jean-Pierre RIVET
Tous droits réservés – Copyright 2013
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 27 autres membres