Un sahel sur sa banquise
Si la lumière nous aspirer
Dans un vent de pétale
La paix murmurée le printemps
Dans l'Âme d'une incertitude
La fraicheur nous berce
Dans l'ombrage d'une intonation
Savourant l'écho de notre reflet
Au milieu d'une chorégraphie constellée
L'amour palpite de notre plume
Sur un tourbillon de pensée
Chaque syllabe acère une tournure
Dans une éternelle crêpe lumineuse
L'enfant décramponne chacune de ces rhizomes
Pour y ondoyer dans chaque flou
D'ouragan de ces cumulus gris d'intonation
Le dissipe inspire le lâcher prise
Laissant le passé colorer son lointain
Dans une brume dansant d'un univers
La crainte s'éloigne tout en douceur
Et un espace éclore d'un adieu fusionnel
Jean-Pierre RIVET
Charlevoix Comté du Québec
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