L’élytre d’un coffrage
Ô toi l'aigle d'attaque
Dans le roulement d'expression
Tu escamotes
Dans les mots de mot
Sur les ailes des désarrois
A la lueur de tes battements
Sur les cuivres syllabiques
Tu y distingues les colories
De l’évasion d’un murmure
A l'arc-en-ciel de cette scène
Dans chaque percussion nova
De ton souffle d'éloquent
La chaumière renifle l'horizon
Dans un pas de paix d'amour
Qui prospère à chaque pétale
De son essence d'oasis
Les monts concordent à cette douceur
D’un élan pygargue d'océan
Qui ondoie au firmament
A l’aune d'une Aura de cœur
D’une exposition de reflet
Chapotant l’écume caracolé
A l'idole de ta nitescence sanglotée
Le refrain de son abysse s'évaporant
A l’éloignement d’un pinacle de ressac
Tirant le coefficient d’un jusant
A l'attraction d'un tambour d'oxygène
Que chaque vitamine posture l'abyssal
Des pâquis de saisons houleuses
Dans l'infanterie des orgues d'amour
L’immersion d’une paix engloutie
Jean-Pierre RIVET
Québec Comté de Charlevoix
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