Jean-Pierre-RIVET alias le poète

Ce monde de saison déshabillé de toute vertu

Au battement étincelant des chélidoines  

Sonnant l'artifice d'une vibration

Au soleil d'une écume chevauchant

Les couloirs des embruns linéaires

Dans l'imparfait d'un crochu d'aigle

Au noir d'un désarroi ombilical

Un clignotement arrondit l'accent d'un respect

À l'ignorance d'un tourbillonnaire abyssal

Échappant à l'élocution d'une insécurité

Au lointain des hauts fonds inconscient

Navigant d'une soif de larme de vague

D'un chuchotis de miroir d'un essentiel

Au dormant d'une bordée aposté d'une membrure

Dans une déferlante transcendante d'une quête

Berçant l'apothéose d'un mur d'éventail

Sur une soumission aveuglée d'amour

Dans l'océan d'un regard silencieux

Tricotant la dentelle d'un désert d'apocalypse 

Au murmure d'un point de côte d'aiguillage

Sur un cheminement de rail hypnotisé d'une valise

Dans les brames de l'inconnu d'un coloris

Une plante respire l'oxygène d'un cycle

À l'horizon d'une énergie emprisonner

Dans l'accueil d'une plongée d'un ancrage

Masquant l'amour d'un éclat de verbe

Au milieu d'une compréhension à fleur de peau

Tremblant d'une lumière imparfaite virevoltante

Dans une houle onctueusement parfumée d'un roulis

Débordant des dalots d'un pivotement pigmenté

À l'azur d'une mélodie reflétant une suave d'agitation

D'un vent rebondissant d'une rose des vents

D'un embrasement de paix au cœur d'un amour partitionné

Jean-Pierre RIVET

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