Jean-Pierre-RIVET alias le poète

Tout au fond d'un masque nu

Une larme navigue dans l'œillade limpide

Au lointain d'un silence entaillé

Dans l'écorce d'un sérum de respect

Ondoyant sur un univers tourbillonnaire

Sur un torrent d’exactitude

Aiguisant l'eau d'un bleu lagon

Au gavroche créateur d'appétit

Nageant dans les serpentins des chutes

Sur un tressaillement taciturne

Berçant l'ouïe d'un toucher

À l'accueil d'une migration de cœur

Dans l'éventail d'une caresse d'incertitude

Ouvrant l'assurance d'un souffle de nature

Au pas majestueusement libertin de palpitation

Sur un fond d'une ancre imparfaite d'ancrage

Dérivant dans l'oasis d'une pénombre

Absorbant le rêve d'une nature colorié

À Dionysos d'une ampleur

Bolduc d'une Flamande d'épi de blé

À la source d'une moisson solitaire

Dans une auréole d'arc-en-ciel

Bâtissant l'amour d'une authenticité

Au regard d'un bonheur lumineux

Dans l'éclosion d'une tendre pureté

Battant le divin d'une gratitude boléro

À l'abondance d'un aveuglement ensoleillé

Frémissant au régale d'un feuillage monotone

Dans l'immersion d'un carnaval déshabillé

Sur toute une profondeur d'un désarroi de larme

Suintant d'un tourbillon  de velléité désertique

Dans une paix perdue d'une dignité hypnotisée de vertu

Jean-Pierre RIVET

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